Aujourd'hui le statut et la vision de la femme dans le monde du travail ont beaucoup évolué. Les femmes sont moins proies au sexisme qu'il fût un ou deux siècles plus tôt et tous cela grâce à l'évolution des mentalités. Car oui « il vaut bien mieux naître femme aujourd'hui qu'à nimporte qu'elle autre période de l'histoire » nous confirme le livre économique américain Superfreakonomics qui nous servira de support dans cette partie de notre travaux pratiques encadrés du fait des parallèles, des études et des statistiques qui nous serons très utiles pour développer nos pensées. Cependant de nos jours le combat des femmes en entreprise est de supprimer ces inégalités qui persistent toujours. Des inégalités métaphorisés par l'expression "plafond de verre". Cette expression américaine qui désigne ce frein dans l'ascenseur social. Le plafond qui empêcherai certaines femmes d'évolué dans leur carrières. Nous verrons si le plafond de vere ne serait pas finalement un peu "alimenté"/"encouragé" par les femmes elles-mêmes et comment se fait-il que certaines inégalité persistent et que font les lois pour lutter contre cela. 

I) Le plafond de verre

Le plafond de verre (ou glass celling en anglais) est une expression américaine apparue aux Etats-Unis vers la fin des années 1970. Cette métaphore désigne le fait que dans une structure hiérarchique, l’accès aux postes de décision et à responsabilité serait limité pour les femmes. Ces postes en question ne seraient donc réservés qu'aux hommes. Car, effectivement, à niveau et étude égale un homme et une femme ne toucheront, dans certains secteurs, pas le même salaire et n'aurons pas les mêmes chances de promotion et d'évolutions de carrière. C'est un fait et une réalité qui a été prouvé mainte et mainte fois comme nous le présente, par exemple ici, le site de l'Institut National de la Statistique et des Etudes Economique:

On constate sur ce graphique que les promotions professionnelles sur un an sont en majorité accordées aux hommes. Le fait que les femmes interrompent plus souvent leur activité contrairement aux hommes peut être une cause. Car après dix ans de travail, seulement 10% des hommes restent 6 mois ou plus sans travailler, contre 40% de femmes.  

En 1872, première année pour laquelle des statistiques sont disponible sur le sujet, 21% des étudiants américains étaient des étudiantes. Aujourd'hui, ce pourcentage est de 60% et ne cesse de s'accroître. Ces vingt-cinq dernières années, plus de 30% des Master of business administration décernés par les facs les plus prestigieuses des Etats-Unis l'ont été à des femmes, nous en sommes même à 43% aujourd'hui.

On constate ici que malgré le fait que les femmes soit nombreuses et même supérieur à poursuivre leur études, lorsque l'on regarde de plus près dans les structures hiérarchiques elles sont peu nombreuses à occuper la place de dirigeante voir PDG car oui seulement 1,5 % de femmes sont PDG et 2,5 % des postes les mieux rémunérés sont occupé par des femmes.

Et même dans les secteur qui sont stéréotypés comme étant "féminin" reste dirigés en grande parti par des hommes:

La restauration : Dans les foyers, la cuisine est connu pour être une "affaire" de femmes. Mais dans les cuisines professionnelles, la tendance s’inverse : seul un cuisinier sur quatre est une femme. En France, sur 593 restaurants étoilés, seulement 17 sont tenus par des femmes.

La couture : En couture est pendant un défilé nous trouverons souvent une majorité de femmes mais le dirigeant sera en général un homme.

II) Les lois

Les lois ont beaucoup joué et souvent aider dans la marche pour l'égalité entre les hommes et les femmes au travail. Ce pendant des inégalités persistent et se sont même creuser. Le ministre des Droits des femmes, Najat Belkacem, a présenté, l'été de 2013, un projet de lois visant à supprimé les stéréotypes sexistes qui ne font que approfondir les inégalité et ne nous fait que marcher en arrière. Car malgré le fait que de nombreuses femmes se soit battu pour que certaines femmes ait les droits qu'elles ont aujourd'hui, dans certains pays dans le monde, les droits de la femme porte à débat et sont parfois contesté.